Jusqu'au moment où Philippe, poings serrés, narines agressives, surgissait. Il ne détestait pas cela d'ailleurs, il avait un goût très prononcé pour la bagarre. Une manière comme une autre de dépenser un surplus de vigueur que le football ne mettait pas à contribution. Pourtant, il ne parvint pas à obliger le secrétaire à franchir le seuil de la cabane dans les sycomores. (25)

Francillon, Clarisse. Le carnet à lucarne. Paris: Denoëel, 1968 (192 p.)