Sur des coins de table, assis sur une brouette ou sur un timon de voiture, accroupis sous leur tente ou le dos au mur, des soldats écrivaient. Dans un pré, on jouait au football avec de grands cris et des camarades suivaient la partie, à cheval sur des selles lustrées, tout en se faisant tondre les cheveux par les muletiers du train de combat. (187)

Dorgelès, Roland.Les crois de bois. Paris: Hachette, 1919 ( 277 p.)