et ce sourire indolent, candide, cruel, que l'on peut voir sur certains portraits des femmes de cette époque mais peut-être était-ce seulement l'effet d'une mode, d'un style, l'habileté, le savoir-faire, le conformisme du peintre habitué à représenter du même pinceau ou du même voluptueux crayon les mères de famille et les lascives
Claude Simon. La route des Flandres (1960), p.281