Je nous voyais déjà, arrivant le dimanche pour la visite, avec des fleurs, le dernier roman à la mode, des gâteries inutiles, souriant de toute notre mauvaise conscience à Marie-Louise que nous aurions abandonnée dans une de ces grandes maisons entourées d'un parc, où l'on place, si on en a les moyens, les vieillards séniles, les nymphomanes

Catherine Paysan. Les feux de la chandeleur (1966), p.188