On a l'impression qu'il souffre. Ses yeux d'un bleu nordique me font craquer depuis déjà plusieurs années. Il est le fils d'un avocat assez connu à Paris et il joue au football comme un dieu. Il n'a qu'un seul défaut, mais il est de taille: il ne cesse de m'appeler Alex ! Et je ne supporte pas qu'on m'appelle Alex... On peut me dire Alexandra ... (29-30)

Aventin, Christine. Le coeur en poche. Paris: Mercure de France, 1988 (243 p.)