Elle déplorait qu'il eût supprimé la fanfare du patronage; les parents se plaignaient de ce qu'il n'accompagnait plus les enfants sur le terrain du football : " c'est très joli d'avoir toujours le nez dans ses livres, mais une paroisse est vite perdue. Thérèse, pour l'entendre, fréquenta l'église. (234)

Mauriac, François. Thérèse Desqueyroux. Paris: Grasset, 1927 (241 p.)