Elle déplorait qu'il eût supprimé la fanfare du
patronage; les parents se plaignaient de ce qu'il n'accompagnait plus les
enfants sur le terrain du football : " c'est très joli d'avoir toujours
le nez dans ses livres, mais une paroisse est vite perdue.
Thérèse, pour l'entendre, fréquenta l'église.
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Mauriac, François. Thérèse Desqueyroux.
Paris: Grasset, 1927 (241 p.)